Le cinquantenaire de la Côte d'Ivoire
Le 7 Août prochain, la Côte d'Ivoire, à l'instar des autres pays francophones, va souffler sur la cinquantième bougie marquant le demi siècle de notre libération du colonialisme. A cette occasion, les autorités intitutionnelles mettent les bouchées doubles pour offrir aux ivoiriens une fête digne de la réputation de notre pays.
Son Excellence Monsieur Pierre Kipré, ambassadeur de la Côte d'Ivoire près le palais de l'Elysée, nommé président du comité d'organisation de la manifestation, est entrain de mettre les petits plats dans les grands pour faire oublier un temps soit peu, aux ivoiriens, les déboires d'une rébéllion qui ne finit jamais. On espère que la célébration de cette festivité pourrait être un élément déclencheur de bon sens et de prise de conscience aux acteurs de la crise. Dans tous les cas, les ivoiriens sont convaincus qu'ils méritent vaillament de fêter ce demi siècle dans la paix et la tranquillité.
En effet, la sortie de crise serait souhaitable avant cet heureux événement, ce qui donnerait une coloration toute particulière à ce moment de rejouissance populaire. Si l'on s'en tient à l'accord de Ouaga, on est à même de penser que ce rêve est possible.
Cependant, nous pensons honnêtement que cette manifestement festive ne traduit pas dans les faits la normalisation des rapports entre la métropole et l'ancienne colonie. Nous sommes sans ignoerer, que la tension qui perdure entre l'Hexagone et nous, n'est pas à son épilogue, malheureusement. On veut continuer les vieilles pratiques d'avilissement et de négation au grand mépris de nos valeurs et de nos libertés. Le Président de la république qui n'entend pas les choses de cette oreille, tente courageusement de réorienter la politique étrangère de notre pays en prenant à la lettre, les nouveaux concepts de la mondialisation qui sont: la globalisation et le libéralisme. Ce qui signifie clairement que notre destin n'est plus entre les mains d'une seule puissance, soit-elle pseudo détentrice de notre destinée, mais, libre de commercer, négocier, traiter avec qui nous semble bon. C'est une nouvelle vision des relations entre les états souverains que Gbagbo veut instaurer à tous les coups; c'est seulement à ce prix, qu'on pourrait réellement se tapper sur la poitrine et dire fièrement, "je suis indépendant".
C'est un long processus qui nécessite une nouvelle pratique culturelle; c'est-à-dire, une rupture totale entre nos habitudes actuelles et une nouvelle manière de vivre. " Le travail c'est l'indépendance mon enfant !!! " disait Climbié (BBD), nous devons absolument faire nôtre cette pensée, si nous aspirons vraiment à une indépendance totale; car, on ne peut pas être libre et dans le même temps tendre la main à d'autres personnes pour manger.
Entretemps, je souhaite de tout mon coeur, des voeux de bonheur et très bonne santé à tous ceux qui sont nés cette année-là;
Bon anniversaire!
Fahé
Son Excellence Monsieur Pierre Kipré, ambassadeur de la Côte d'Ivoire près le palais de l'Elysée, nommé président du comité d'organisation de la manifestation, est entrain de mettre les petits plats dans les grands pour faire oublier un temps soit peu, aux ivoiriens, les déboires d'une rébéllion qui ne finit jamais. On espère que la célébration de cette festivité pourrait être un élément déclencheur de bon sens et de prise de conscience aux acteurs de la crise. Dans tous les cas, les ivoiriens sont convaincus qu'ils méritent vaillament de fêter ce demi siècle dans la paix et la tranquillité.
En effet, la sortie de crise serait souhaitable avant cet heureux événement, ce qui donnerait une coloration toute particulière à ce moment de rejouissance populaire. Si l'on s'en tient à l'accord de Ouaga, on est à même de penser que ce rêve est possible.
Cependant, nous pensons honnêtement que cette manifestement festive ne traduit pas dans les faits la normalisation des rapports entre la métropole et l'ancienne colonie. Nous sommes sans ignoerer, que la tension qui perdure entre l'Hexagone et nous, n'est pas à son épilogue, malheureusement. On veut continuer les vieilles pratiques d'avilissement et de négation au grand mépris de nos valeurs et de nos libertés. Le Président de la république qui n'entend pas les choses de cette oreille, tente courageusement de réorienter la politique étrangère de notre pays en prenant à la lettre, les nouveaux concepts de la mondialisation qui sont: la globalisation et le libéralisme. Ce qui signifie clairement que notre destin n'est plus entre les mains d'une seule puissance, soit-elle pseudo détentrice de notre destinée, mais, libre de commercer, négocier, traiter avec qui nous semble bon. C'est une nouvelle vision des relations entre les états souverains que Gbagbo veut instaurer à tous les coups; c'est seulement à ce prix, qu'on pourrait réellement se tapper sur la poitrine et dire fièrement, "je suis indépendant".
C'est un long processus qui nécessite une nouvelle pratique culturelle; c'est-à-dire, une rupture totale entre nos habitudes actuelles et une nouvelle manière de vivre. " Le travail c'est l'indépendance mon enfant !!! " disait Climbié (BBD), nous devons absolument faire nôtre cette pensée, si nous aspirons vraiment à une indépendance totale; car, on ne peut pas être libre et dans le même temps tendre la main à d'autres personnes pour manger.
Entretemps, je souhaite de tout mon coeur, des voeux de bonheur et très bonne santé à tous ceux qui sont nés cette année-là;
Bon anniversaire!
Fahé